LES lecteurs des deux premiers volumes de ces contes, ont été fatigués de l’interruption que Dinarzade apportait à leur lecture. On a remédié à ce défaut dans les volumes qui ont suivi. On ne doute pas qu’ils ne soient encore plus satisfaits de celui-ci, où ils ne seront plus arrêtés par les autres interruptions à chaque nuit. Il suffit qu’ils soient instruits du dessein de l’auteur arabe qui en a fait le recueil.
On trouve de ces contes en arabe, où il n’est parlé, ni de Scheherazade, ni du sultan (...)